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Climat : Meadows annonce les objectifs, pas plus de 2 milliards d’humains

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(Nouvelle Solidarité) – Alors qu’à Copenhague le lobby anti-population peine à pousser les nations au suicide, l’un de ses plus loyaux valets, l’expert en ingénierie sociale du MIT, Dennis Meadows, annonce ouvertement les objectifs de la fraude du réchauffement climatique : réduire la population mondiale à 2 milliards d’individus. Meadows joua un rôle fondamental au commencement de cette propagande malthusienne, puisqu’il est le co-auteur du rapport du Club de Rome Halte à la croissance de 1972 (plus justement surnommé Halte à l’intelligence). [*]

« Nous devons apprendre à vivre une vie remplie avec le niveau d’émissions de CO2 de l’Afghanistan », explique Meadows dans une interview publiée le 9 décembre sur le site de l’hebdomadaire allemand Der Spiegel. « Est-ce possible avec 9 milliards de personnes sur cette planète ? » lui demande l’interviewer. « Non, réplique-t-il, même 7 milliards c’est trop pour cette planète. (…) Si tout le monde est autorisé à pouvoir pleinement se déplacer, se nourrir et s’auto-développer, c’est 1 à 2 milliards. » Lorsqu’on lui demande comment atteindre cet objectif, le gourou de l’anti-population n’a pas le courage d’aller au bout de sa pensée, en expliquant qu’il est une personne éthique et ne ferait jamais de mal à une mouche. « Mais, poursuit-il, le problème c’est que notre mode de vie actuel fait directement du mal aux générations futures. »

Un journaliste inspiré lui aurait alors rétorqué : « Non Dennis, ce sont les meurtriers comme vous qui font du mal aux générations à venir, mais nous ferons en sorte que vous soyez très vite un phénomène du passé. »

Notes :

[*] La fraude de Halte à la croissance, concoctée au Massachusetts Institute of Technology (MIT), fut l’un des virages dans l’attaque contre la science physique moderne. En effet, comme les climatologues de l’Université d’East Anglia, leur « science », censée prouver l’incompatibilité entre l’écosystème et le progrès humain, est entièrement fondée sur des modèles informatiques capables d’extrapoler linéairement les données préprogrammées d’un système, mais incapables d’intégrer la donnée la plus essentielle : la créativité humaine, qui a la puissance de changer les systèmes.