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Copenhaguen Summit / Sommet Copenhague
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Après Copenhague : la « CNN russe » présente le Plan LaRouche

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(Nouvelle Solidarité) – A la conclusion du Sommet de Copenhague sur le climat, Russia Today, la chaîne gouvernementale russe internationale, a interviewé le président de l’Institut Schiller au Danemark, Tom Gillesberg et présenté l’alternative au fiasco de Copenhague : l’Alliance des 4 puissances proposée par Lyndon LaRouche. Le reportage a aussi été repris sur le site de Voice of Russia, la radio publique russe internationale.

Après avoir abordé les raisons du flop de Copenhague, le reportage explique : « Certains disent que l’objectif de ce sommet n’était pas le changement climatique, mais d’obliger les pays à agir contre leur propre intérêt national au nom du réchauffement climatique. Pour l’Institut Schiller, l’alternative consiste à réunir les Etats-Unis, la Russie, la Chine et l’Inde pour établir un nouveau système financier international. » Puis donne la parole à Tom Gillesberg, président danois de l’association larouchiste : « Si ces quatre puissances se réunissaient, toutes les autres nations présentes ici diraient : ‘Nous voulons les rejoindre car ce que nous voulons vraiment c’est le développement’. Nous avons désespérément besoin de développement pour l’Afrique, l’Amérique du Sud et l’Asie, et c’est ce que la plupart des pays présents à la conférence auraient vraiment voulu discuter, car c’est ce qu’ils pensaient pouvoir ramener de Copenhague : de l’argent pour le développement. »

Contrairement à la vision impériale qu’a tenté d’imposer le lobby anti-population britannique à Copenhague, le monde n’est pas surpeuplé, mais sous-développé. En présentant l’alternative à ce qui ne manquerait pas d’être un génocide, nos militants danois, suédois, allemands, italiens et français présents à Copenhague ont réuni près de 200 contacts institutionnels des pays qui subissent ce sous-développement chronique et qui commencent à comprendre qu’il faut organiser un changement global, plutôt que de mendier quelques financements verts pour des projets inefficients par-ci par-là.