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Obama plombé par les nouvelles révélations sur Benghazi
20 mai 2015
Solidarité&Progrès— Des documents estampillés « confidentiels » des services de renseignement américains de la défense (Defense Intelligence Agency, DIA, et le Département de la Défense) montrent que le président Obama savait parfaitement qu’al Qaïda était à l’origine des attaques sur le consulat américain de Benghazi (en Libye) le 11 septembre 2012. Ces documents, dont l’un daté du 12 septembre, quelques heures à peine après les attaques qui ont conduit à la mort de l’ambassadeur américain Christopher Stevens et de trois autres responsables, ont circulé largement dans les milieux gouvernementaux américains, incluant à la Maison Blanche. Ils prouvent sans l’ombre d’un doute que l’attaque sur les installations diplomatiques américaines en Libye, ainsi que l’annexe de la CIA, était une opération d’al Qaïda. Les documents ont été obtenus le 18 mai, suite à une procédure de requête de la part de l’association Judicial Watch, en vertu de la Loi sur l’accès à l’information (FOIA). Ainsi éclate aux yeux de tous cette triste vérité : Barack Obama a délibérément menti au peuple américain, ainsi qu’au Congrès qui avait formé une commission d’enquête à ce propos, pour cacher le fait que al Qaïda constituait toujours une menace à la sécurité des Etats-Unis, et ce en dépit de la liquidation d’Ossama ben Laden le 2 mai 2011, contrairement à ce qu’avait prétendu le président lors de sa campagne en vue de sa réélection à l’automne de 2012. Le président et la secrétaire d’État de l’époque, Hillary Clinton, avaient affirmé au lendemain des attaques que celles-ci n’étaient que la conséquence d’une manifestation populaire contre des vidéos satiriques à l’égard du prophète. L’économiste américain Lyndon LaRouche a tout de suite commenté, après avoir été informé de la publication des documents : Les préconditions pour la destitution du président Obama sont désormais réunies. Les preuves sont concluantes, et elles sont désormais publiques. Il revient maintenant aux élites américaines (et à la population) de faire le nécessaire pour forcer le président à se retirer, et le temps presse car Obama pourrait bien, dans un acte de désespoir, commettre des actes pouvant menacer la paix mondiale.
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