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Obama Impeachment / Destitution d’Obama
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Obama savait en temps réel qu’une attaque terroriste était en cours à Benghazi

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Dans une interview le 27 octobre sur Fox-News, deux lieutenant-colonels de l’armée américaine, Tony Schafer et David Hunt, ont déclaré que des extraits vidéo provenant de deux drones survolant les environs du consulat américain « ont été transmis en temps réel à 15 endroits différents, incluant la salle de réunion de crise de la Maison-Blanche. Plusieurs personnes ont été informées en temps réel de la situation » et ont évidemment fait remonter l’information vers le sommet. « Jamais les communications n’ont été meilleures  », a-t-il dit, avant d’ajouter : « Je déteste dire ceci mais, selon mes sources, oui, il [le Président] était l’un de ceux présents dans la salle en temps réel regardant les événements. La question devient donc ’’qu’a donc fait ou pas fait le Président alors qu’il voyait la situation se dérouler sous ses yeux ?’’ Seul lui pouvait donner l’ordre au secrétaire à la Défense Panetta de faire quelque chose. »

Le site internet breitbart.com a par la suite divulgué, sur la base de rapports confidentiels qui ont fait l’objet de fuites dans les médias, qu’un avion de combat, probablement un AC-130, survolait la région et que le personnel de sécurité du consulat a appelé à l’aide à plusieurs reprises mais que l’avion n’a jamais répondu.

Une autre bombe politique a été lâchée le 25 octobre par le journaliste Ed Klein, dans une biographie de Barack Obama, The Amateur, qui inclut des informations confidentielles montrant que la secrétaire d’Etat Hillary Clinton avait bel et bien ordonné d’accroître la sécurité du consulat dans la période précédant l’attaque, sur la base de demandes provenant du terrain, mais que le Président en avait empêché l’exécution. Klein a ajouté que Hillary Clinton refuse de rendre publiques les documents à sa disposition par peur de provoquer la défaite d’Obama à l’élection du 6 novembre prochain.

Si les affirmations de Klein concernant l’ordre d’Hillary Clinton d’accroître la sécurité ont été confirmées par d’autres sources proches de la secrétaire d’Etat, l’identité du responsable qui a bloqué l’envoi de renforts militaires pour sauver l’ambassadeur et les autres diplomates reste à confirmer. (Rappelons qu’une escouade de marines a dû violer l’ordre de ne pas intervenir pour tenter de sauver les victimes.)

Obama n’a toujours pas donné de compte-rendu détaillé de son emploi du temps ce jour là, à partir du moment où les nouvelles de l’attaque par 20 individus lourdement armés sur le consulat ont atteint la salle de réunion de crise de la Maison-Blanche, à 16h05, heure de Washington. Aucune mention de manifestation n’a été faite à ce moment là, contrairement aux allégations publiées par la suite par la Maison-Blanche. Obama a toujours refusé de répondre aux questions directes des journalistes sur son emploi du temps.

Des experts du renseignement américain consultés par nos collègues de l’Executive Intelligence Review EIR ont déclaré que la raison pour laquelle Obama aurait agit de la sorte semble être le fait que le Président souhaitait à tout prix défendre le mythe selon lequel Al-Qaïda n’existe plus depuis qu’il a lui-même ordonné l’assassinat d’Osama ben Laden le 2 mai 2011, une action dont il s’est vanté à plusieurs reprises par la suite.

Ainsi, non seulement Obama a-t-il continué à étouffer la vérité sur le premier 11 septembre, celui de 2001 [1], mais il a voulu pousser le bouchon trop loin, jusqu’à faire croire qu’il avait « résolu 9/11 » en assassinant ben Laden, causant de ce fait un « 11 septembre version 2 ». Une décision psychotique (à la Néron) qui lui sera probablement fatale, a commenté l’économiste américain Lyndon LaRouche à propos de ces révélations.


[1Contrairement à la promesse électorale qu’il avait faite en 2008 aux familles des victimes, Obama a, une fois élu, activement empêché la publication du chapitre de 28 pages du rapport de la Commission d’enquête sur le 11 septembre, documentant le rôle de l’Arabie saoudite dans le financement des attentats.