Lyndon H. LaRouche
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LaRouche Le parti démocrate est-il déjà mort ?

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Plus de la moitié des citoyens adultes américains ont déjà amèrement rejeté les politiques de la présidence Obama et celles de la plupart des membres du Congrès des États-Unis. Ce parti est pratiquement fini s’il ne s’oppose pas à la honteuse escroquerie des renflouements et n’abandonne pas son soutien à la politique de santé du Président Obama qui est une copie conforme et explicite des politiques de santé d’Adolf Hitler de 1939-1942, politiques introduites dans la loi anglaise par le programme NICE du menteur Tony Blair. Ce même malfaiteur de Tony Blair qui orchestra l’embourbement des États-Unis dans la récente guerre en Irak fait désormais parti du processus visant à plonger les États-Unis dans une catastrophe bien pire encore et qui se dégrade à grande vitesse en Afghanistan.

Ma politique, que je souhaite répercutée partout, est la suivante :

1. Du fait qu’il a été élu, nous ne pouvons tout simplement pas nous débarrasser du Président Obama, à moins qu’il ne doive être destitué, un dénouement que nous ne devrions pas souhaiter pour le moment. Il doit être maintenu en place et protégé des menaces d’assassinat émanant des britanniques ou de leurs dépendances, enragés par la crainte que le Président Obama n’échoue à imposer les politiques dictées par Londres sur les États-Unis. Nous devons éviter cette destitution, et le pouvons si le Président lui-même, profondément affecté émotionnellement, accepte de coopérer avec des conseillers valables, ce qui équivaudrait, comme je le propose, à le placer, dans la mesure du raisonnable, sous un « contrôle parental » destiné à le protéger de ses propres expressions impulsives caractéristiques d’une capacité de jugement grandement affaiblie dans l’exercice de ses fonctions.

Il existe à cet effet de nombreux officiels dignes de confiance occupants aujourd’hui des postes clefs de la présidence des États-Unis, pourvu que nous nous débarrassions des personnes associées aux architectes du programme de santé explicitement inspiré des nazis et, plus généralement, aux cercles du cultes comportementalistes. Sont également à la disposition de la présidence des États-Unis un certain nombre de conseillers capables d’affronter la crise d’effondrement général que connaissent aujourd’hui les États-Unis et de nombreuses autres économies nationales.

2. Dans le même temps, il nous faut mettre en œuvre une Commission Pecora bénéficiant des mêmes pouvoirs que l’originale, et appliquer l’autorité explicite de l’intention originelle de notre Constitution fédérale pour établir une banque nationale, concept associé à la mémoire d’Alexander Hamilton, et éliminer l’autorité du système de la réserve fédérale, un système corrompu et désespérément en faillite, afin que nous puissions, en tant que nation, revenir aux termes explicites de notre Constitution fédérale qui fait de notre système un système de crédit, contre le modèle aliéné du système monétaire.

3. Dans le but d’une relance, certaines mesures doivent être prises immédiatement, avant la fin de l’année fiscale américaine, afin de négocier des accords entre les quatre puissances que sont les États-Unis, la Russie, la Chine et l’Inde, ainsi que les autres nations souhaitant s’y joindre dès à présent, visant à établir un système international de crédit à taux de changes fixes remplaçant le système monétaire aujourd’hui à l’agonie.

4. Il faut défaire les arrangements de « renflouements », principaux responsables de la haine de la majorité des citoyens envers leur gouvernement fédéral, au travers de procédures de banqueroute organisée. Si cela n’est pas fait, et fait promptement, les États-Unis seront, avec toutes les autres nations de ce monde, sur le point de se désintégrer dans le cours des derniers mois de cette année.